Dieu sur la souffrance des animaux (Œuvres complètes, Poésie IV, page 676 à 688)

« Quoi ! dans les noirs combats du bœuf des Asturies,
Ivresse populaire et passe-temps royaux,
Le cheval éperdu marche sur ses boyaux,
Le taureau lui crevant le ventre à coups de cornes ! »

Victor Hugo