Blasco Ibanez porte un regard terrible sur la corrida !
Grand écrivain espagnol, poète, journaliste et homme politique républicain que certains n’hésitèrent pas à comparer à Emile Zola, porte un regard terrible sur la foule assistant à des corridas. À la lecture de son texte très fort et sans concession, on réalise que le monstre décrit dans l’arène n’est pas celui que l’on croit… Il est peut-être dans les gradins…
couverture du livre
La foule ne risque rien…
Dans une corrida, ce qui m’écoeure, c’est la foule. Là, la foule donne libre cours à ses instincts de grossièreté, de férocité, avec une ardeur plus véhémente que dans une émeute ou à la guerre, car elle sait qu’elle ne risque rien. Là, l’homme du monde y devient pareil au pire voyou de la rue, et derrière la balustrade solide, il vocifère comme un dément, dans son désir de sang et carnage. La lâcheté de tous ces gens excitant les autres à s’entretuer est, à mon sens, une des choses les plus ignobles qui soit au monde, c’est un odieux assassinat de chevaux et de taureaux.
J’ai la version électronique de ce livre et je ne trouve pas ce passage, non plus.
Peut-être un problème de traduction …
Ma version a été traduite en 1910 par Georges Hérelle.
Ne serait-ce pas plutôt un commentaire de cet auteur ?
Mais même si ce livre est très documenté sur le milieu de la corrida et que c’est un roman, au vu de nombreuses phrases utilisées on peut penser que l’auteur n’apprécie guère la corrida.
Quand on pense que si la république avait perduré en Espagne, les corridas auraient été abolies !
Monsieur Hugues Bousquet, ne soyez pas de mauvaise foi. Nous n’avons jamais parlé d’une citation. Il s’agit d’un recueil d’expressions tirées du livre de Blasco Ibanez. Terriblement à charge contre les aspects barbares de la corrida. La description de la foule se repaissant de corrida est implacable. On les retrouve, entre autres, dans les pages 120, 154, 253 ou 254. Il vous faut assumer votre passion coupable, cher Monsieur. Mais en êtes-vous capable ?
Il n’empêche que le (les) passage(s) que vous citez ne figure(nt) pas dans « ARENES SANGLANTES » !
– Il vous faut assumer votre MANIPULATION coupable, cher Monsieur. Mais en êtes-vous capable ?
pour votre pagination (120, 154, 253 ou 254) dans quelle édition svp.
juste quelques mots et tout est dit !!!!!! merci MONSIEUR !!
j’espère que des milliers , que dis – je , des millions de personnes liront ces lignes ! et que les aficionados réfléchissent à cette description !
Je viens de relire « ARÈNES SANGLANTES » roman intéressant sur la corrida au début du XXeme siècle.
Cela m’a permis de découvrir que le passage cité par T. Hely n’y FIGURE PAS !
Inculture, mensonge, manipulation; c’est au choix…
Et si dans la Collection Livre de Poche n°1361… – texte d’après editeur Calman-lévy 1923
Un livre écrit en 1907/1908 que je recommande à tous vos amis…
et vous devriez dire à Poignet que Blasco Ibanez est décédé le 28 janvier 1928 plutôt que me censurer…
Hé oui, aficionadas et aficionados, c’est certainement dur à lire, mais c’est ainsi… Et en plus, manque de chance pour vous, c’est de la part d’une grande figure républicaine espagnole…
Bien dit, Ibanez, et en peu de mots!
Si le miroir qu’on vous tend vous déplaît, messieurs les afiocs, vous pouvez le briser, nous injurier, nous taper dessus comme à Rodhillan ou comme le subit Cavanna, ça ne changera rien.
C’est certain que si on reste froid, voire si on trouve ça TRES BIEN, si on paie pour en voir d’autres, si on bande en voyant des choses comme ça, on a peu d’espoir de progresser sans une vraie prise de conscience qu’on a un sacré problème
APrès,il existe une solution: une chirurgie éthique!
Je rajoute que la société qui permet ça a aussi un pb.
Merci à Blasco Ibanez:
Quelqu’un de contre à qui on ne peut pas reprocher de ne rien connaître à la si belle culture taurine.
Ca console de Varga qui, au cours d’une interview, affirmait qu’interdire la corrida risquait de propager la peste et le paludisme dans le monde ( trop de compassion envers les animaux.
La belle culture taurine n’a rien de culturel : elle est fondés sur un mythe glorifiant la primauté de l’homme sur l’animal et montre par l’exemple à quelle indifférence et aberration de l’esprit finise pas gangrener le corps et l’esprit.
J’ai la version électronique de ce livre et je ne trouve pas ce passage, non plus.
Peut-être un problème de traduction …
Ma version a été traduite en 1910 par Georges Hérelle.
Ne serait-ce pas plutôt un commentaire de cet auteur ?
Mais même si ce livre est très documenté sur le milieu de la corrida et que c’est un roman, au vu de nombreuses phrases utilisées on peut penser que l’auteur n’apprécie guère la corrida.
Quand on pense que si la république avait perduré en Espagne, les corridas auraient été abolies !
Monsieur Hugues Bousquet, ne soyez pas de mauvaise foi. Nous n’avons jamais parlé d’une citation. Il s’agit d’un recueil d’expressions tirées du livre de Blasco Ibanez. Terriblement à charge contre les aspects barbares de la corrida. La description de la foule se repaissant de corrida est implacable. On les retrouve, entre autres, dans les pages 120, 154, 253 ou 254. Il vous faut assumer votre passion coupable, cher Monsieur. Mais en êtes-vous capable ?
Il n’empêche que le (les) passage(s) que vous citez ne figure(nt) pas dans « ARENES SANGLANTES » !
– Il vous faut assumer votre MANIPULATION coupable, cher Monsieur. Mais en êtes-vous capable ?
pour votre pagination (120, 154, 253 ou 254) dans quelle édition svp.
juste quelques mots et tout est dit !!!!!! merci MONSIEUR !!
j’espère que des milliers , que dis – je , des millions de personnes liront ces lignes ! et que les aficionados réfléchissent à cette description !
Je viens de relire « ARÈNES SANGLANTES » roman intéressant sur la corrida au début du XXeme siècle.
Cela m’a permis de découvrir que le passage cité par T. Hely n’y FIGURE PAS !
Inculture, mensonge, manipulation; c’est au choix…
Mr Hugues Bousquet, avez-vous lu au moins « Arènes Sanglantes » ? J’en doute…
Et si dans la Collection Livre de Poche n°1361… – texte d’après editeur Calman-lévy 1923
Un livre écrit en 1907/1908 que je recommande à tous vos amis…
et vous devriez dire à Poignet que Blasco Ibanez est décédé le 28 janvier 1928 plutôt que me censurer…
Hé oui, aficionadas et aficionados, c’est certainement dur à lire, mais c’est ainsi… Et en plus, manque de chance pour vous, c’est de la part d’une grande figure républicaine espagnole…
J’aimerais assez soutenir la théorie de Monsieur Blasco Ibanez concernant le monstre qui est dans les gradins.
Comment entrer en contact direct ?
Bonjour à tous,
Un sondage ‘Etes-vous pour le maintien des corridas à Alès ?’ est proposé ce jour sur Midi Libre:
http://www.midilibre.fr/2013/01/28/ales-le-conseil-municipal-a-valide-les-corridas-pour-la-feria-2013,634361.php
Bien dit, Ibanez, et en peu de mots!
Si le miroir qu’on vous tend vous déplaît, messieurs les afiocs, vous pouvez le briser, nous injurier, nous taper dessus comme à Rodhillan ou comme le subit Cavanna, ça ne changera rien.
C’est certain que si on reste froid, voire si on trouve ça TRES BIEN, si on paie pour en voir d’autres, si on bande en voyant des choses comme ça, on a peu d’espoir de progresser sans une vraie prise de conscience qu’on a un sacré problème
APrès,il existe une solution: une chirurgie éthique!
Je rajoute que la société qui permet ça a aussi un pb.
Merci à Blasco Ibanez:
Quelqu’un de contre à qui on ne peut pas reprocher de ne rien connaître à la si belle culture taurine.
Ca console de Varga qui, au cours d’une interview, affirmait qu’interdire la corrida risquait de propager la peste et le paludisme dans le monde ( trop de compassion envers les animaux.
La belle culture taurine n’a rien de culturel : elle est fondés sur un mythe glorifiant la primauté de l’homme sur l’animal et montre par l’exemple à quelle indifférence et aberration de l’esprit finise pas gangrener le corps et l’esprit.