Yolaine de LA BIGNE, journaliste, fondatrice et directrice du magazine NEOPLANETE, commente de manière très pertinente sur EUROPE 1 la dénonciation par l’Organisation des Nations Unies de la présence d’enfants assistant à des corridas ! Yolaine de LA BIGNE est membre du comité d’honneur de la FLAC.
Écoutez cette excellente intervention sur le site d’Europe 1.
Petit rappel concernant la recommandation de l’ONU sur cette question :
Quand j’ai appris qu’il y avait des corridas pour enfants et des écoles de « tueries et de tortures », parce que c’est ça en fait, je me suis demandée si je faisais un cauchemar!! Je pense que la France est le seul pays au monde où il y a ce genre d’écoles!
merci à Yolaine Elle met sa renommée au service d’une cause juste.
il est inconcevable que des « écoles »( le plus souvent entretenues par les deniers publics:)soient autorisées à apprendre le maniement de l’arme blanche à des enfants afin tuer de jeunes animaux
C’est là une manifestation de perversion totale!
c’est détruire l’empathie naturelle des enfants…c’est créer des individus qui à l’âge adulte n’auront plus de repères sensibles, et pour lesquels la violence envers plus faibles qu’eux devient une chose normale; Les écoles taurines sont un crime contre les enfants, et contre la société.
Il serait temps que nos énarques en prennent conscience!
Bravo à Yolaine de la Bigne. Cette recommandation de l’ONU est d’une grande importance ; les aficionados ne s’y trompent pas, eux qui se sont réfugiés dans un « silence assourdissant » sur ce sujet.
A deux reprises,en 2006 et 2007, lors des « Fêt Nat » que Yolaine avait formidablement organisées à Paris, nous avions pu tenir un stand pour informer les parisiens sur la réalité des corridas et représenter la saynète pour les enfants , « Le matador repenti » (une satire qui dénonce l’horreur de la corrida). Yolaine a toujours apporté son soutien indéfectible à la cause des enfants et des taureaux. Aujourd’hui, elle prouve encore par son engagement au côté de la FLAC que le vivant, pour elle, n’est pas un vain mot. Avec toute ma sympathie, Patricia Zaradny
pardon pr les fautes…grrr…
Merci à Mme Yolaine de LA BIGNE( quel joli, nom au passage)pour son investisssemnt aux côtés de la FLAC et son intervention juste sur une grande radio nationale.
Je viens de recevoir ( et afficher sur le portail d’ entrée de ma maison) des tracts du CRAC dont un qui s’intitule » Non aux écoles de la violence! »: on y voit de tout jeune enfants avec les armes du toreador, face à des agneaux, des veaux!….
Un grand merci à Yolaine de LA BIGNE pour ses prises de position contre tout embrigadement d’enfants dans la violence et la cruauté.
La corrida est intolérable et encore plus la présence d’enfants dans ces spectacles barbares.
Que nos dirigeants aient le courage de fermer les écoles dites de « tauromachie espagnole », où l’on apprend à des enfants, dès l’âge de 10 ans, à manier le poignard pour torturer de jeunes bovins.
La corrida est une chose abjecte qui ne peut qu’apporter aux spectateurs des pulsions de haine et de violence. Les afiocs s’en prennent d’ailleurs souvent aux femmes qui sont contre la corrida . Est ce que les litres de sang versés, les viscères éclatés, les cris de souffrance et d’agonie sont un art? Bien-sur que non et n’y a t il pas déjà suffisamment de violences sur terre pour continuer à accepter ça au 21ème siècle?
Déjà, en 2010, Yolaine de LA BIGNE avait permis à la FLAC de débattre sur cette pratique cruelle en s’opposant à l’amateur de corrida Teddy Follenfant. L’un des créateurs des Verts et ancien porte-parole d’Ammnesty international en France… Comme quoi…
http://www.neo-planete.com/2010/06/10/debat-la-corrida-dans-larene/
Bonjour,
Yolaine de LA BIGNE résume de façon pertinente ce combat que nous menons avec acharnement depuis plus de dix ans, contre ces écoles de tauromachie et contre la présences des enfants mineurs aux corridas.
Nous avons besoin de personnalités valorisées en milieu médiatique, afin que le poids de nos arguments soit pris en considération.
Merci à elle et merci à toutes ces personnes anonymes, qui nous soutiennent dans cette difficile épreuve contre une administration sans ressort, à la morale élastique, et refusant l’évidence contre cette insoutenable cruauté.