La nouvelle version de ce court-métrage (diffusé au Festival de Cannes hors sélection en 2002) est enfin disponible sur le net.
Ce film tourné le 12 août 2000 à Béziers lors de la corrida la plus prestigieuse de la féria, présente la particularité de montrer les scènes soigneusement censurées à la télévision pour ne pas choquer l’opinion publique.
On peut y voir les deux toréros les plus scandaleusement payés à l’heure actuelle : Sébastien Castella et José Tomas. Le jour du tournage, nous étions loin de nous douter qu’ils allaient devenir les plus grands matadors à l’heure actuelle adulés par des foules aveuglées.
Si la vidéo ne se lance pas correctement, retrouvez-la ici.
Le comportement stéréotypé d’un public manipulé applaudissant à tout rompre des scènes d’une cruauté inouïe oblige à nous interroger sur le tréfonds de la nature humaine. Ces spectateurs, composés de gens normaux, placés dans un environnement de foule et d’apparat, perdent tout esprit critique, de discernement et de compassion. C’est ce qui apparait dans ce document, et qui est effrayant.
Les jeux du cirque sont encore présents au XXIème siècle.
Sous un aspect festif, haut en couleur, la musique et j’en passe, La mise à mort d’un animal n a jamais été n’est et ne sera jamais une manifestation culturelle !!! Arrêtons cette hypocrisi ! C ‘est honteux et lamentable, c’est à vomir que cette cruatué d’un autre âge persiste encore et que certains dits « humains » cautionnent, se délectent et applaudissent à tout romptre devant une telle horreur !!! Certains de nos politiques apprécient, ces VIP encouragent mais ou va t’on ??? Qu’enseignons nous à nos plus jeunes, comment vont ils se construirent avec de tels exemples de non respect de la vie ?? Et les lobbies, tout cet argent que rapporte ces lâches assassinats organisés, quel modèle…. Je suis attérée.
Quand, mais quand enfin les pays qui pratiquent et encouragent encore ces pratiques vont ils avoir le courage d’interdire définitivement ces massacres ?
Les seuls « êtres respectalbes » à ce sujet sont bien les animaux !
Pauvres taureaux, aucune chance de s’en tirer indemne et pourtant il se bat lutte et souffre jusqu’au bout comme le chante si joliement Francis Cabrel (bravo encore à lui). Pensons également aux chevaux qui ne sont pas épargnés non plus et pour encore parler d’horreur de la lacheté suprème l’horreur que vivent les lévriers et autres galgos en Espagne sur lesquels les pseudos propriétaires ont le droit de vie ou de morts sur ces pauvres chiens exploités et comble de l’horreur, apprécient et jouissent de faire souffrir le plus possible l’animal qui n’interesse plus, mais n’oublions pas surtout ne rapporte plus, il n’est plus Bancable !!!