Corine Pelluchon, (fiche wikipedia) Professeur de philosophie à l’Université de Franche-Comté intègre le Comité d’honneur de la FLAC.
Découvrez le texte très fort (PDF) que Corine Pelluchon a rédigé contre la corrida après avoir visionné le film « Juste pour le plaisir ».
Merci Corine Pelluchon !
MERVEILLEUX TRAVAIL DE CORINE PELLUCHON
Tous les êtres sensibles et désireux d’un monde meilleur, doivent ABSOLUMENT lire les ouvrages accessibles, limpides de cette philosophe engagée, qui plaide pour la protection animale et nous donne des clefs pour que soient pris en compte le STATUT, et les DROITS des animaux pour lesquels différents acteurs, artistes, médias doivent s’engager et POLITISER le combat et l’engagement en leur faveur.
C’est grâce à de tels porte-parole tels que Corine Pelluchon, à leur courage, leur faculté d’éveiller et de remuer les « léthargiques de l’ancien monde inepte, cruel et illégitime » que le monde de demain peut évoluer vers un amour et un respect des animaux non humains. Pour que cesse l’instrumentalisation, la torture, la maltraitance, le perpétuel acharnement à CHOSIFIER nos « frères » les animaux, à les utiliser, les briser, les humilier jusqu’à l’extrême limite de l’indicible. Corine est une des plus dignes, des plus brillantes représentantes de cette cause urgente qu’on ne peut plus ajourner mais au contraire, prendre à bras le corps. Le véganisme doit s’imposer en force, les modes de vie (alimentaires écologiques) de tout un chacun doivent prendre une autre tournure. Il n’y a pas d’autre alternative, ce n’est pas négociable et les 2% de végétariens recensés en France, loin derrière certains pays , un chiffre trop confidentiel hélas…. pourraient bientôt donner « le la » et faire des émules..et nous aurions franchi une étape cruciale si nous nous prétendons évolués, humains et spirituels. Tout est à construire,l’espoir demeure.
Un très bon texte de Corine Pelluchon dans « Le Monde » : « Condition animale et justice sociale »
http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/02/24/condition-animale-et-justice-sociale_1647765_3232.html
« Qui dira, sans travestir ce message, que la condition animale est une cause de la République ? D’aucuns objecteront que la perte du triple A par la France et la crise économique font que le chômage et le pouvoir d’achat sont les priorités. Pourtant, la question animale est le levier d’une interrogation sur ce qui fait de la crise actuelle une crise économique, morale, spirituelle et politique. L’absence de prise en considération de la question animale par les différents candidats à l’élection présidentielle est le signe d’un écart entre les citoyens et les représentants politiques. Car nous sommes de plus en plus nombreux à reconsidérer les fondements de nos rapports aux bêtes et à ne plus supporter les traitements que nous leur infligeons. La question animale est une question politique majeure. Elle nous concerne tous et concerne tous les domaines de notre vie, de l’alimentation et de l’éducation au commerce et à l’industrie alimentaire. La création d’un secrétariat d’Etat à la condition animale serait un minimum. Car la question animale soulève un enjeu de civilisation qui ne peut plus échapper à personne. »
Les Philosophes dans l’arène! Un engagement nécessaire de la part du « Philosophe », enfin!…les Lacaniens vont-ils suivre? car finalement, cette pulsion de mort, particulièrement tordue « fait plaisir » à qui ? qu’en pensent et que disent les femmes de ces matadors ? ne sont-ils pas que le vecteur du sentiment de castration, en apothéose, dans un spectacle-tout-à-l’égout?
Merci – Madame Pelluchon – pour votre courage!!!
Bonjour, grand merci à Corine Pelluchon.
Une personnalité de tête bien pensante de plus parmi nosu
BRAVO Merci madame de nous rejoindre.
Merci Madame de rejoindre un cause noble. Votre soutien est précieux dans la lutte contre cette forme extrême de toutes cruauté, de cynisme, et d’orgueil malsain.
Ensemble luttons pour une société plus respectueuse du vivant! i
Merci infiniment à vous, Madame, pour votre engagement!
Très cordialement,
Daniéle LAOUARI