Pour reprendre une partie des voeux de la FLAC diffusés au début de cette année :

“Lors de cette année 2013, le combat pour notre cause si difficile n’a jamais été aussi omniprésent et pugnace sous toutes ses formes : sur le terrain, lors de colloques, auprès des politiques, artistiquement et dans les médias. En toute complémentarité.

Aux dires même des aficionados, nous représentons désormais pour eux un véritable danger. Nous sommes incontournables ! Le temps du mépris à notre égard depuis des décennies est révolu.”

Il est désormais évident pour tous que les opposants à la corrida, qu’ils soient individuels ou regroupés dans des associations actives pour l’abolition, sont déterminés à ne rien laisser passer et à dénoncer la barbarie des arènes, sous toutes ses formes !

La mise à mal de la corrida se fait également ressentir dans une baisse de fréquentation – plus ou moins importante selon les villes – des arènes (on a récemment pu en vérifier toute l’ampleur lors de la publication des chiffres des arènes de Nîmes, en dégringolade…).

Certains aficionados – vérité ? propagande ? – entendent relever la tête et tenter ainsi de faire bonne figure.

Dans un article récent les “clubs taurins du Gers” évoquent de manière floue et imprécise “une version plutôt positive de la dernière saison taurine”… Tellement positive qu’ils déplorent quelques lignes plus bas “un amoncellement d’inquiétudes”, “une persécution des services fiscaux” (tiens donc, une certaine opacité des comptes taurins aurait-elle attiré l’attention du fisc ?) et “la nouvelle façon d’agir des opposants à la corrida” ! En prévoyant d’avoir à affronter en 2014 une “tourmente”. Effectivement, chacun pourra ainsi constater le caractère éminemment positif de cette dernière saison taurine…

L’axe fondamental de notre action mis en avant par la FLAC et ses associations membres est celui de l’interdiction des corridas aux enfants de moins de 16 ans.

D’ores et déjà nous vous donnons rendez vous pour ce début d’année le samedi 15 février à Bordeaux pour une conférence-débat organisée avec la participation du professeur Hubert Montagner.